théâtre de marionnettes et d’objets
Cie franco-italienne

Imaginez ... les lignes blanches de part et d’autre, les bas côtés herbus, le ruban d’asphalte qui s’étire à l’infini devant vos yeux, rugissement des moteurs  et animaux en fuite... Vous voilà dans une course poursuite délirante et détonante, avec dérapages, ralentis, cascades et musique épique. Un savant mélange de film d’action et de marionnette poétique.

spectacle de rue déjanté,
clin d’oeil au cinéma,
La Route , c’est un moment privilégié où l’oeil et les sens sont invités à foncer dans une cavalcade déjantée...

Trois animaux complices, un lion, un cochon et un éléphant décident de recouvrer leur liberté...
La Route s’apparente à un spectacle de rue tout terrain.
L’absurde se mêle incessamment au déraisonnable, le spectateur se laisse prendre au rythme d’une course poursuite effrénée...
En adaptant pour la rue notre spectacle «Dites leur qu’on est partis», coup de coeur Saperlipopette 2006 (Festival
Jeune Public de l’Hérault), nous avons voulu nous libérer des contraintes techniques, et faire une proposition encore plus folle au public.

Une ligne de fuite plus vraie que nature parmi les spectateurs ? Des animaux cavalant sur un rouleau tournant ?
Une régie sonore perchée en hauteur et complètement décalée?
Autant d’éléments scéniques que l’espace de rue met en valeur, parce que tout le monde est convié, sans vraiment savoir à quoi.
Parce qu’une fois pris dans la course, qui éclate sans crier gare, personne ne respire plus, on suit des yeux les trois personnages haletants, on retient son souffle lors des cascades, on espère intensément que rien n’entravera leur échappée passionnée, pas même la police qui n’est pourtant qu’à quelques tours de rouleau...

«La Route» dure environ 20 minutes, et prend plaisir à être joué autant en milieu urbain (le clin d’oeil des éléments scéniques, la course poursuite road movie...) qu’en milieu rural (la présence des animaux en quête de liberté...). C’est un spectacle de voyage, de pérégrinations, de distance parcourue...

Pour la compagnie Anonima Teatro, il est important que ce spectacle puisse se confronter à différents types de publics et de paysages. Afin de pousser plus loin cette envie de rencontre de l’inconnu, nous avons décidé de rendre le spectacle techniquement autonome (il ne nécessite qu’une arrivée électrique basique), et linguistiquement universel. En effet, ne comportant que très peu de texte, il s’adapte facilement à des publics de nationalités et langues différentes.


Avis de JDB Prod : 20 minutes de folie, une cavalcade insensée avec des conducteurs improbables.....les manipulateurs embarquent le public dans une poursuite délirante, tout le monde reste en haleine...entre deux éclats de rire. Décidemment, JDB prod adore les spectacles déjantés!

Compagnie : Anonima Teatro
Mise en scéne : Edwige Pluchart
Jeu et manipulation : Jacopo Faravelli et Loïc Thomas
Régie : Pauline Hoa
Création sonore : Attila Faravelli
Photos : A. Djurovic

Informations pratiques :
Durée : environ 20 minutes
Tranche d'âge : tout public à partir de 5 ans
Espace scénique :  spectacle autonome. prévu pour espace public ; rue, places, tous lieux insolites
Jauge : 200 spectateurs environ

Technique :
8m de profondeur (longueur du camion + espace de jeu)
3m de largeur
3,50m de hauteur (hauteur du camion + régie située sur le toit)
Sol plat (pas de pente)
Son et électricité quasi autonome (besoin d’une arrivée électrique 16A/220V)
Nous avons besoin d’un lieu sûr (fermé ou surveillé) où laisser le camion de nuit (matériel sonore laissé à l’intérieur).

Accès Camion nécessaire

 

Comment Pantagruel rompit les andouilles aux genoulx

vignette pantagruelSpectacle Tout public à partir de 6 ans


Barbecue philologique en vieux francois
Pantagruel et ses acolytes débarquent sur l’ile farouche, demeure des andouilles, en guerre mortelle de long temps avec leur voisin Quaresmeprenant.
Pris par erreur pour celui-ci, Pantagruel et ses amis se retrouvent d’abord espionnés, puis carrément attaqués par une armée d’andouilles, godilvaulx, saulcissons et cervelats...

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